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 3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill

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Liam J. Stewart

Liam J. Stewart

♣ Messages : 38

3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill _
MessageSujet: 3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill   3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill EmptyMer 25 Aoû - 21:36



i can't live without you


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3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill 53761146

On a tous un petit quelque chose sans lequel on ne peut pas vivre. Pour moi, ce petit quelque chose s’est incarnée en la personne de Jill. Jill est mon être parfait, mon rayon de soleil, mon oxygène, ma vie, et je pourrais encore vous citer des tas de choses qui la définiraient si bien mais malheureusement, le temps m’est compté. On m’a toujours dit que les rêves ne durent qu’un temps et que tout a une fin. Je voudrais me persuader que ce n’est pas la fin et que du temps m’est encore accordé. Jill doit partir, pour Miami, et je n’ai pas le choix, tout comme elle, je dois m’y résoudre. Pourquoi la vie a-t-elle décidé de me l’enlever ? La réponse est simple mais cruelle. Ses parents venaient de mourir dans un accident de voiture, et elle n’a d’autre choix que de partir habiter chez sa tante. Je sais qu’elle est forte et tente de me cacher des tas d’émotions, mais elle ne devrait pas. Alors voilà, je sais que le compte à rebours a commencé et que les heures ont commencé à défiler, voilà pourquoi je suis incapable de laisser le temps filer ainsi.

Elle et moi, impossible de se dire qu’on se dira simplement au-revoir à l’aéroport. C’est tout bonnement inconcevable et ça serait trop … bénin. Je sais qu’il nous faudra du temps pour se dire au-revoir et ce qui me console c’est que notre histoire ne s’arrêtera pas là. Mais elle quittera Boston et à chaque endroit où je me rendrai dans la ville, des souvenirs m’assailliront et je n’aurai d’autre choix que de me morfondre sur moi-même. C’est en pensant à cela que je me réveillai ce samedi matin. Une lumière venait comme de s’allumer au-dessus de moi et j’eux la meilleure idée que je n’aie jamais eue. La journée allait être longue, et j’allais avoir du pain sur la planche. Cependant, j’avais quelques habitudes à remplir. Premièrement, une douche n’était pas de refus et deuxièmement, je devais rejoindre Jill au Starbuck du coin où nous avions l’habitude de se retrouver tous les samedis matin pour le petit déjeuné et en général, nous continuions le reste de notre journée ensemble, mais pas cette fois. Après avoir englouti mon petit déjeuné assez rapidement, je dois l’avouer, je lui avais lancé un simple « Retrouve-moi à huit heures au pied du saule-pleureur. ». Et je m’en étais allé en lui faisant un baiser sur le front. M’en étais-je vraiment allé en courant ? Peu importe, dans tous les cas, elle avait du se poser des questions. J’espérais simplement qu’elle ne s’inquiétait pas.

Je ne pouvais pas la laisser partir de Boston comme ça, nous y avions vécu tellement de choses. Voilà pourquoi toute la journée, je m’acharnai à ce que tout soit parfait. J’avais organisé un petit jeu de piste regroupant u maximum d’endroits où nous avions vécu des choses hors du commun ou simplement des instants de pur bonheur. Je lui avais donné le premier endroit, ce saule pleureur qui se trouvait dans son quartier, au bord du fleuve Charles. Ce lieu fut le lieu de notre premier baiser. Nous étions sortis plusieurs fois ensemble avant qu’elle ne daigne enfin m’embrasser mais selon moi, je l’avais mérité. Pourquoi ne l’avoir emmené qu’au saule pleureur qui se trouvait à, à peine, quelques pas de chez elle ? Et bien parce qu’un soir, je m’étais pointé sans prévenir chez elle et bien que cela ne soit pas prévu, sa mère avait gentiment accepté de nous laisser un quart d’heure à tout casser à moins de cent mètres de la maison. Je me souviens avoir souri, triomphant. Encore aujourd’hui, je ne suis pas sûr de ce qui m’a poussé à aller la voir ce soir-là. Mais je sentais que c’était ma chance et qu’en la surprenant, elle craquerait enfin. En tout cas, je ne m’étais pas trompé.

Il était un peu moins de huit heures et je m’étais faufilé jusqu’à l’arbre. J’y déposai une couverture, un panier de pique-nique, des verres de vin et une bouteille de rouge venant de France. A cette heure-ci, j’étais persuadé qu’elle n’avait pas encore mangé et qu’elle mourrait de faim. Tant mieux, c’était à mon avantage !

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Jill M. Hawkins
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3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill _
MessageSujet: Re: 3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill   3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill EmptyJeu 26 Aoû - 2:32

3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill 6820970002xb1h 3 juillet 2006 ♣ I can't live without you. - PV Jill 657996XOXOSHINE200111
Liam & Jill ♥


Liam avait et serai toujours l'homme de ma vie. Le seul que je ne pourrai jamais aimé autant. Nous partagions ce petit quelque chose, ce petit quelque chose d'unique. Maintenant que je l'avais, je ne voulais plus m'en séparer. Il était devenu, si facilement, si vite, la personne dont je ne pouvais plus me passer. Moi qui n'avait jamais cru à l'amour, parce que je peux croire que ce que je vois, ce que je touche, j'en étais maintenant entourée. Je pouvais le voir, le toucher, parce que j'avais trouvé l'amour en la personne de Liam. Mais, les derniers événements venaient bouleverser tous les projets que j'avais imaginés pour lui et moi. Mes parents avaient perdu la vie dans un triste accident de voitures. À cause de cette accident, non seulement j'avais perdu mes parents adorés, mais j'allai aussi perdre la personne qui me permettait de continuer de vivre avec cette perte. Liam était ma bouée de sauvetage en ce moment, mais je devais partir loin, si loin. Ma chance avait tourné, j'allais perdre la dernière personne à qui je tenais. Je n'avais jamais été très optimiste, alors, pour moi, ce départ n'engendrait rien de bon. J'allais me battre pour le garder, mais notre relation avait toujours été basé sur le fait que nous étions invincibles, ensemble. On avait toujours une proximité, un contact, et ça serait impossible de garder ça. Mais je ne voulais pas penser à la suite, je voulais vivre ce qui me restait à ses côtés. Parce que je l'aimais plus que tout.

Lorsque je me réveillai ce matin, j'étais incapable de quitter mon lit. Je fixai le plafond, essayant de penser à autre chose que mon départ imminent. Les boîtes qui emplissaient maintenant ma chambre me narguaient, me rappelant ce départ vers Miami, chez tante Tessy. La chose qui réussit à me sortir du lit fut le fait que nous soyons samedi matin. Liam et moi nous retrouvions toujours au Starbuck, pour un petit déjeuner ensemble. J'étais donc sortie du lit en me traînant les pieds. Chaque fois que je le voyais, je me rappelai que je l'abandonnais ici. Je pris une rapide douche, me vêtis d'une jupe et d'un pull. J'attachai mes cheveux en un chignon relâché et me maquillai un peu. J'attrapai mon sac à main, mes clés et mes lunettes de soleil. Je décidai de marcher, inutile de prendre un taxi, ce n'était pas très loin. Cependant, je pressai le pas, hâtive de retrouver mon amoureux. Je voulais rester coller à lui toute la journée, juste pour sentir sa présence à mes côtés. Je m'assieds donc à une petite table en retrait, pour plus d'intimité. Il arriva quelques minutes plus tard, avec cette étincelle dans les yeux. Ça piqua ma curiosité, mais je décidai de le laisser parler... Ce qu'il ne fit pas. Il avala son déjeuner d'un trait. Je le regardai, sans savoir quoi penser. Décidément, il n'avait pas les mêmes projets que moi pour la journée. Avant que je puisse le questionner, pour calmer mes inquiétudes, il déposait un baiser sur mon front avec une simple parole : « Retrouve-moi à huit heures au pied du saule-pleureur » Rêvai-je ou il était parti en courant. Une fois qu'il sortit, je posai mes coudes sur la table et cachai mon visage dans mes mains. Mais, qu'est-ce qui se passait? Était-ce le fait qu'il était si pressé? Qu'il ne m'avait pas donné de vrai baiser? Qu'il ne comptait pas passer la journée avec moi? Ça pouvait sembler un peu égoïste, narcissique, mais j'avais les nerfs en compote et je devenais parano. « Laisse tomber, Jill, tu te fais encore des scénarios! ». Je replaçai mes cheveux et finis de déjeuner, bien que l'appétit n'y fut pas. Ce que nous partagions était trop fort pour finir comme ça, je devais arrêter de penser à ça, mais j'avais si peur. Je n'avais jamais eu ça auparavant, de l'amour, du vrai. Et je l'aimais tellement, que j'étais toujours inquiète que ça finisse comme ça. Comme c'était un de mes derniers jours et que Liam ne comptait visiblement pas rester avec moi aujourd'hui, je décidai de passer la journée avec ma ville. Je me baladai donc, en travers la ville. Je passai devant mes endroits préférés. La Prudential Tower, la Public Library, le Public Garden, le Christopher Colombus Park, etc. Je vivais depuis toujours ici, et il me faisait mal de quitter ce bout de terre. Tous mes souvenirs s'y trouvaient, tout ce qui comptait pour moi aujourd'hui s'y trouvait ici et j'avais toujours imaginé mon avenir ici, avec Liam. Je pris un taxi pour rentrer chez moi, étant rendue à l'autre bout de la ville, il était six heures. Je continuai un peu mes boîtes avant de prendre une douche et de me changer. J'optai pour une robe d'été et un petit cardigan. Pour laisser le temps passer, je mis de la musique et regardai des photos. Tant de souvenirs. Vers sept heures cinquante, je me dirigeai vers le fameux saule pleureur. Cet endroit magique qui avait accueilli notre premier baiser. Je me rappellerai toujours de cette soirée. Il n'était pas très tard et Liam s'était pointé à la maison. Bien que nous soyons sortis ensemble quelques fois, je ne l'avais jamais embrassé, je ne savais comment interpréter mes sentiments, je ne savais pas quoi en penser. Mais cette soirée, quand il était venu et avait demandé à ma mère un moment avec moi, je me rappelai avoir compris. Enfin, pas compris, accepté. J'avais accepté que j'étais amoureuse et que je ne devais pas avoir peur d'être en amour. Il m'avait conduit là-bas et je n'avais pas eu besoin de me faire prier pour l'embrasser. Et aujourd'hui, il me faisait venir ici. J'allai devoir dire au revoir à tous ces endroits, nos endroits. Je distinguais bien vite le fameux arbre, et Liam. Je pressai le pas, je voulais le voir. Il avait placé sur une couverture au pied de l'arbre et il y avait tout ce qu'il fallait pour un bon pique-nique. Je crochetai mes bras autour de son cou et déposai un baiser sur ses lèvres. « Je t'aime tellement. » Je mis ma main sur sa joue avant d'ajouter: « Alors, qu'as-tu préparer pour cette belle soirée? »

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