.EZRA ♣ le préservatif est la pentoufle de verre de notre temps.

Ezra est
déterminé, audacieux, gourmand, perspicace, passionné, frivole, imprévisible, créatif, mélancolique, compréhensif, attentif, timoré, modeste, charismatique, curieux, sérieux, prudent, soigné
& aussi
impatient, fait preuve d'empathie, caractériel, téméraire, indépendant, bavard, idéaliste, intuitif, rancunier, responsable, maladroit, engagé, réfléchi, original, ouvert d'esprit, jaloux, rusé, romantique, économe, soucieux, sociable, ...
Mais c'est ça aussi
il cache de nombreux secrets ✖ sa couleur préférée est le marron ✖ il aime le bruit de l'eau, qu'il s'agisse de la pluie ou encore de l'océan ✖ bois plus de dix tasses de café par jours - se bat avec ses cheveux à longueur de temps ✖ écoute la même chanson chaque matin en se réveillant ✖ oublie toujours de fermer les portes à clés ✖ passe plus d’une heure assis dans le parc chaque jour ✖ téléphone à sa famille tous les lundi soirs.
Ezra aime

dessiner, jouer du piano, prendre des photos, manger des pop-corns au cinéma, son travail récompensé, regarder le ciel, les films policiers, travailler, courir sur le sable, ses illusions, les grands auteurs, cette situation qui le rend dingue.
Ezra recherche
Je recherche des liens qui sortent de l'ordinaire, plaisant à jouer. Je suis ouvert à toutes propositions, les plus farfelues sont mes préférées.
« Il n'y a pas de témoin plus redoutable, pas d'accusateur plus implacable, que la conscience qui sommeille en chaque homme. Polybe. »

paz-penelope sanchez.

Ezra a connu Penelope il y a à peine quelques jours, ils se sont rencontré dans un café, ils ont fait connaissance, découvrant qu’ils avaient de nombreux points communs, un coup de foudre ? Presque oui puisqu’ils ont passé leurs soirées ensemble et finalement on couchait ensemble. Ezra pensait qu’elle était étudiante à l’université et elle n’a aucune idée de son travail. Seulement lorsqu’elle arrive pour son premier cours de littérature au lycée, elle découvre que son professeur n’est autre qu’Ezra. Lui n’en revient pas, elle est l’une de ses élèves, si cela se savait il aurait de très gros problème, il pourrait perdre son travail, voir pire.

♣♣♣

J’ouvrais la porte, ne sachant pas qui pouvait me rendre visite si tard, et je la vis, se tenant la me souriant, son regard posé sur moi. Je ne sus quoi dire d’abord, lui demander ce qu’elle faisait là aurait été judicieux mais j’étais surtout convaincu que je devais lui demander de partir, elle ne devait pas être là, si quelqu’un la voyait alors s’en était terminé de moi. « Tu ne devrais pas être là. » Je savais qu’elle ne comprenait pas, elle me l’avait dis ce jour là, lorsque je découvrais que la jeune femme qui m’avait tant plu quelques jours plus tôt était finalement une lycéenne, qui plus est l’une de mes élèves, elle ne voyait pas de raison pour nous de ne pas nous voir, j’en voyais une bonne centaine. « Tu me laisse entrer ? S’il te plait, il faut qu’on discute. » J’hésitais bien sur, d’un autre côté si quelqu’un passait dans le couloir et la voyait là devant ma porte, ce serait sans doute pire. Je me décalais légèrement, et elle entra, sans un mot de plus. Je refermais soigneusement la porte, m’assurant que personne n’avait vu cet échange. « Il n’y a rien à dire Pen’, tu devrais rentrer chez toi. » Je ne savais pas ce qu’elle voulait de plus, elle m’avait menti, par omission certes, elle ne m’avait jamais assurée être étudiante, j’avais simplement déduis cela au cours de la conversation. Mais peu importe, ce n’était plus important à présent. « Si, je sais que tu pense que c’est impossible parce que je suis au lycée, mais ça ne change rien, personne ne le saura et dans un an je serais diplômée, ce n’est pas si grave ! » Elle en était convaincu je pouvais le voir sur son visage, elle était persuadée que cela pouvait être, que nous pouvions avoir une relation à laquelle je ne voyais aucun avenir. « Non, tu es l’une de mes élèves, ce n’est pas possible ! Quelqu’un finira par s’en rendre compte… » Je ne savais pas comment lui faire comprendre qu’elle devait partir, que nous ne devions plus nous voir en dehors de cette salle de classe, seulement je n’étais pas convaincu moi-même, je ne parvenais pas à la chasser de mon esprit, et ce n’était pas faute d’avoir essayé. « Ça n’arrivera pas… » Elle s’était approchée et je n’avais pas bougé, quelque chose me disait que j’aurais du reculer, lui demander de partir, mais j’en étais incapable, elle s’arrêta près de moi, me souriant, ce sourire auquel je n’avais pas su résister la première fois et finalement elle m’embrassa. Je la repoussais, reculant légèrement. Mais finalement non, je l’embrassais à mon tour, pressant mes lèvres sur les siennes comme si ma vie en dépendait.